The Witcher 3 : Le RPG occidental dans toute sa splendeur !

image ennemi the wither 3

Après de longs mois d’attente, le nouveau bébé du studio CD Projekt est enfin arrivé. Chronologiquement situé un an après les événements de Witcher 2, il est temps de découvrir ce que ce The Withcher 3 : Wild Hunt a dans le ventre.

Tout d’abord, on ne peut que saluer les efforts du studio CD Projekt pour pallier aux défauts de ses aînés : maniabilité et mouvements du personnage plus fluides et possibilités de gameplay richement étoffées. Si, quelques fois, on a l’impression d’une lenteur de réaction chez notre avatar, on peut dire qu’elle est justifiée par le rendu de ses animations, du jamais-vu dans un RPG occidental jusqu’alors.

Ensuite, les graphismes sont beaux, impressionnants et, dans l’ensemble, très détaillés. Les PNJ possèdent tous des physiques propres, des visages expressifs, ce qui participe grandement à la crédibilité de l’univers de The Witcher 3. Le bestiaire n’est pas en reste et nous offre une vaste galerie de tout ce que compte les mythes et légendes européennes. En trois mots comme en mille : c’est fabuleux, du moins dans la direction artistique.

image village the witcher 3

Nous pouvons également noter que le monde ouvert, instauré dans The Witcher 3, est d’une taille gigantesque et que le nombre de quêtes et d’épreuves qui le peuple rendent la durée de vie de Wild Hunt quasiment sans rival actuellement. Rares sont les jeux qui donnent un tel sentiment de liberté et de plaisir à parcourir ses étendues, c’est même sans doute là, le principal point fort de ce jeu d’exception.

L’interface, elle, pourrait constituer le seul défaut du jeu. Aller chercher constamment des objets dans l’inventaire pour alléger son personnage ou bien encore fabriquer des armes s’avèrent vite laborieux à la longue. On regrette surtout la gestion assez éreintante de l’alchimie, dont l’utilité est certaine, mais qui s’avère assez bordélique pour nous décourager à la longue. Un foisonnement donc, peut-être mal terminé, mais qui témoigne de la générosité et de l’envie de bien faire de CD Projekt sur cet opus quitte à en faire un peu trop.

image ours the witcher 3

Nous pouvons également noter que le monde ouvert, instauré dans The Witcher 3, est d’une taille gigantesque et que le nombre de quêtes et d’épreuves qui le peuple rendent la durée de vie de Wild Hunt quasiment sans rival actuellement. Rares sont les jeux qui donnent un tel sentiment de liberté et de plaisir à parcourir ses étendues, c’est même sans doute là, le principal point fort de ce jeu d’exception.

L’interface, elle, pourrait constituer le seul défaut du jeu. Aller chercher constamment des objets dans l’inventaire pour alléger son personnage ou bien encore fabriquer des armes s’avèrent vite laborieux à la longue. On regrette surtout la gestion assez éreintante de l’alchimie, dont l’utilité est certaine, mais qui s’avère assez bordélique pour nous décourager à la longue. Un foisonnement donc, peut-être mal terminé, mais qui témoigne de la générosité et de l’envie de bien faire de CD Projekt sur cet opus quitte à en faire un peu trop.

image décors the witcher 3

Pour ceux d’entre vous qui accepteront ce défaut, auquel on peut ajouter des textes écrits un peu trop petits, s’ouvrira alors une aventure riche en émotions qu’un scénario habile (bien qu’un peu tiré inutilement en longueur dans la quête principale) fera voyager loin dans l’imaginaire des contes. Les quêtes annexes et les contrats de sorceleur possèdent tous leurs propres histoires et marqueront longtemps vos mémoires (cf la Tour des Souris). Ici, pas de quêtes Fedex, qui vous demande de partir tuer 10 poulets fermiers pour un quelconque PNJ élaboré sans imagination.

Pour conclure, The Witcher 3 : Wild Hunt malgré un ou deux défauts, atteint ses objectifs. On est là face à un RPG à l’occidental qui, si on passe outre son inventaire pas du tout commode, vous dépaysera non pas pour des dizaines, mais pour des centaines d’heures. Impossible de vous quitter sans vous recommander de jouer au casque, tant l’ambiance sonore est exemplaire. Ou dans un environnement propice à profiter pleinement du résultat obtenu par CD Projekt : celui d’un des meilleurs jeu de l’année 2015, à n’en pas douter !

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