[Test PS5] Killing Floor 3 : que le sang coule à flot !

Killing Floor 3 est la dernière itération en date de la légendaire série de FPS d’action/horreur en coopération.

En voici l’histoire :

En 2091, soit 70 ans après les événements de Killing Floor 2, la mégacorporation Horzine a conçu l’armée ultime : une horde obéissante de monstres issus de la bio-ingénierie appelés Zeds. Désormais, le seul obstacle entre ces créations infernales et l’avenir de l’humanité est le groupe rebelle Crépuscule. Ce FPS intense met les joueurs dans la peau d’un spécialiste de Crépuscule, rejoignant jusqu’à cinq coéquipiers pour combattre dans un futur dystopique ravagé par la guerre, survivre à des vagues incessantes de Zeds, débloquer de nouvelles compétences et assembler un arsenal ultime.

Réalisation / graphismes / bande-son

Vous en avez marre des jeux trop sages, trop édulcorés eh bien avec Killing Floor 3 voici un jeu qui porte bien son nom et attendez-vous à des déluges d’hémoglobine, de gerbes de sang. Ca éclabousse à tout va et partout pour notre plus grand plaisir.

Niveau graphismes c’est correct, un peu flashy et lumineux mais bien craspec dans son ambiance avec une bande-son glauque au possible.

Un vrai FPS d’horreur qui pourra vous faire sursauter quelques fois avec ces Zeds bien vicelards.

Le jeu est fluide et il le faut vu le nombre d’ennemis que l’on se prend sur la tête, par vagues successives.

Gameplay / jouabilité

Ce qui surprend d’entrée de jeu est l’agressivité des Zeds qui ne vont pas vous laisser de répits et vous attaque de suite et de façon bien violente. On comprend qu’on n’est pas dans un jeu de bisounours ou de walk trough et il va falloir faire preuve de dextérité pour recharger tout en se mettant à l’abris des vagues et des assauts des Zeds.

Les 6 classes de persos ont chacun des armes bien spécifiques que ce soit en corps à corps ou à distance et même des petits objets bien propres à eux.

A vous de voir la classe qui vous convient le mieux et de jouer en solo au début pour débloquer le multi. Chaque personnage ne se manie pas exactement de la même manière et un temps d’adaptation sera nécessaire avant de vous lancer tel un poulet sans tête dans la guerre.

Il est possible d’améliorer les armes et son équipement en amassant de l’argent en tuant les Zeds et ainsi faire leur fête aux Zeds.

Durée de vie

Si le jeu peut se faire en solo rien ne vaut les parties multi pour tuer des Zeds à plusieurs. C’est toujours plus fun. Si le jeu ne propose que 8 maps vous aurez de quoi faire avec les différents vagues de Zeds qui deferleront.

Conclusion

Un Killing Floor 3 qui va droit au but : défourailler à tout va dans un bain de sang. C’est ce qu’on voulait. Un petit plaisir coupable.